Un régime enregistré d’épargne-études (REEE) pour encourager la relève entrepreneuriale ?

Cet article est présenté par Universitas.


À l’occasion de la nouvelle campagne publicitaire d’Universitas, qui invite les parents (ou grands-parents!) à « Faire le calcul » afin de démontrer qu’il est facile et avantageux d’économiser pour le futur académique de leurs tout-petits, j’ai été approchée pour vous parler de leurs régimes enregistrés d’épargne-études (REEE). N’étant pas très familière avec ce sujet, j’ai pris cette occasion pour sortir de ma zone de confort et découvrir de nouvelles notions dans ce domaine d’activités. Ce qui m’intéressait le plus était de connaître la possibilité d’investir dans des REEE pour le financement d’un projet important de son enfant ou encore le lancement d’une entreprise. Cette approche cadrait bien dans ma ligne éditoriale.

Je suis donc allée à la rencontre de Tina Fournier Ouellet, conseillère aux communications chez Universitas. Dès mon arrivée, j’ai été séduite par l’aménagement des espaces de travail de ses bureaux, situés dans l’édifice du 1035 avenue Wilfrid-Pelletier à Québec. Mme Ouellet m’a expliqué qu’Universitas avait aménagé dans ces nouveaux locaux en 2014 pour satisfaire à la forte croissance de sa clientèle et de son personnel au cours de la dernière décennie.

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Madame Ouellet m’a entretenue sur le régime enregistré d’épargne-études et ses avantages. Si vous êtes nouveaux parents et que vous n’êtes pas trop familiers avec le REEE, vous devez retenir, en premier lieu, que l’investissement dans un REEE permet d’envisager un avenir prometteur pour vos enfants très tôt, et que cette économie dans le REEE permettra de payer leurs études après le secondaire. Le Diplôme d’études professionnelles (DEP) et les cours en entrepreneuriat (reconnus par le ministère de l’Éducation) sont admissibles au REEE. Le REEE sert non seulement à payer les frais de scolarité, mais également l’hébergement, les frais de subsistance, le logement ainsi que le matériel informatique permettant à votre enfant de faire ses études. Ce qui est intéressant également, c’est qu’il est possible pour une personne en dehors de votre famille d’investir dans un REEE pour votre enfant. Elle doit toutefois vous avertir de ses intentions puisqu’elle aura besoin d’informations spécifiques sur l’enfant et votre situation familiale.

J’ai aussi appris que le régime enregistré d’épargne-études est une façon avantageuse d’épargner à long terme pour les parents. Encore mieux que le REER et que le CELI dans bien des cas. C’est que les cotisations donnent droit à des subventions gouvernementales minimales de 30 %, et qui pourrait atteindre 60 % pour les familles à plus faible revenu. On peut donc en conclure qu’un parent qui commence à cotiser dès le plus jeune âge de son enfant pourra profiter au maximum des avantages du REEE.

Ajoutons à cela qu’Universitas offre deux types de REEE. Comme je ne suis pas experte en la matière, je vous conseille fortement de consulter l’article Comment choisir le bon REEE qui est disponible sur le site d’Universitas.

Enfin, j’ai demandé à Madame Ouellet si elle avait des exemples concrets à me citer de parents qui avaient investi pour le futur entrepreneurial de leurs enfants. Elle m’a souligné qu’il était difficile pour les parents de connaître l’avenir de leurs enfants à l’avance et que par le fait même, le REEE qu’il prenait était pour combler en partie l’avenir de leur enfant sur toutes ses formes académiques. Toutefois, Tina Fournier Ouellet est convaincue, tout comme moi, que certains parents se sont servis du retour de leur capital investi dans un REEE pour contribuer au lancement d’une entreprise de leurs enfants. Tout comme des entrepreneurs externes qui auraient investi dans la relève entrepreneuriale d’enfants qu’ils souhaitaient voir avancer. Je trouve, personnellement, le geste tout à fait intelligent.

Rappelons qu’Universitas a aussi une histoire entrepreneuriale. Lancée en 1964, c’est aujourd’hui un pilier de l’épargne-études au Québec. Sa structure d’organisme à but non lucratif lui permet de concentrer tous ses efforts pour offrir les paiements d’aide aux études (PAE) les plus élevés possible. Tout a débuté lorsqu’un groupe de jeunes gens d’affaires ont mis en place un programme unique visant à permettre aux parents de mettre en commun leurs épargnes afin d’accumuler des sommes en vue des études postsecondaires de leurs enfants. C’est à ce moment que le concept d’épargne-études est né au Québec. « Nous avons, depuis, beaucoup évolué. Universitas offre maintenant une plus grande flexibilité d’épargne, mais toujours dans le but de favoriser la persévérance scolaire et d’encourager le plus grand nombre possible de gens, quel que soit leur revenu, à épargner pour le futur de leur enfant. Nous croyons fermement qu’une société éduquée est une société en santé. Sous toutes ses formes. », précise Mme Ouellet. Notons également que tous les représentants de l’organisme sont des travailleurs autonomes.

À vous la parole maintenant. Même s’il est difficile de prédire l’avenir d’un enfant, aimez-vous l’idée d’utiliser une partie du REEE pour financer le projet entrepreneurial de votre enfant? Et, en toute transparence, l’avez-vous déjà fait ?

Mes conseils pour augmenter votre visibilité et votre notoriété directement dans vos courriels.

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